Depuis l’explosion des outils d’intelligence artificielle générative comme ChatGPT, Midjourney ou Copilot, une question inquiète de plus en plus de professionnels :
“Mon métier va-t-il disparaître ?”
Chez Shinka, nous accompagnons chaque jour des personnes déstabilisées par ces mutations. Des salariés performants qui commencent à douter. Des indépendants qui craignent d’être remplacés. Des cadres qui se sentent déjà dépassés.
La peur n’est pas irrationnelle. Mais elle mérite d’être éclairée. Car l’enjeu n’est pas seulement technologique : il est aussi humain, psychologique, identitaire.
Selon une estimation de Goldman Sachs, 300 millions d’emplois pourraient être “affectés” par l’automatisation dans le monde. En France, plusieurs rapports (France Travail, LeBigData, Benjamin Duplaa) identifient des secteurs prioritaires :
Ces métiers ne sont pas “morts”. Mais ils sont fragilisés. Certains postes vont disparaître. D’autres vont changer de nature. Ce n’est plus une question d’un jour peut-être. C’est déjà en cours.
L’Organisation Internationale du Travail nuance : seuls 2,3 % des postes seraient entièrement automatisables, mais 13 % seront profondément transformés.
Autrement dit : ce n’est pas votre métier qui disparaît. Ce sont certaines tâches qui changent. Et donc, votre position, vos compétences, votre posture doivent s’adapter.
Exemple :
Un comptable pourra s’appuyer sur une IA pour produire des bilans plus rapidement, mais devra renforcer son rôle d’analyste, de conseiller, de pédagogue auprès de ses clients.
Aucune IA, même ultra-entraînée, ne remplacera :
Ces qualités deviennent stratégiques. Ce n’est plus un “plus” dans un CV. C’est votre bouclier face à l’automatisation.
L’impact de l’IA sur le travail ne se limite pas à la technique. Il touche aussi le psychique.
Ce que nous observons chez nos coachés chez Shinka :
“J’ai l’impression d’être déjà dépassé, alors que j’ai à peine 35 ans.”
“J’adore ce que je fais, mais je sens que mon métier ne tiendra pas 10 ans.”
“J’ai peur de ne plus être utile, et de ne rien avoir à proposer de mieux.”
Fatigue, perte de sens, anxiété diffuse, syndrome de l’imposteur...
Les risques psychosociaux liés à l’automatisation explosent. Et ils restent largement invisibles.
C’est pourquoi nos bilans de compétences intègrent une dimension psychologique du travail. Car l’adaptation ne se décrète pas. Elle s’accompagne.
Sandrine, 42 ans, cheffe de projet digital, nous a contactés persuadée que “l’IA allait tuer son métier”.
Après analyse, elle a compris que ses compétences humaines – conduite du changement, coordination inter-équipes, sens de la pédagogie – devenaient plus précieuses que jamais.
Elle a pu repositionner son profil vers des métiers d’accompagnement à la transformation numérique, et retrouver du souffle dans son quotidien.
Chez Shinka, nous avons conçu un accompagnement de nouvelle génération :
Notre objectif : vous aider à reprendre le pouvoir sur votre carrière, sans vous abîmer.
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